Rectificatif et autres remarques suite à l'article qui
était paru à mon sujet dans la presse locale havraise en
décembre 2006
- En réponse au titre de l'article "...se voit à
l'Elysée": je n'attache
pas d'importance en soi au fait d'être ou non à
l'Elysée, mais bien
davantage au fait de contribuer au débat d'idées, en
présentant des
positions par ailleurs introuvables sur la scène politique,
notamment
l'idée d'une pleine cohérence entre libéralisme et
pacte écologique, à
rebours de la décision de non-signature du pacte
écologique par Edouard
Fillias. Si quelqu'un d'autre me semblant digne de confiance
venait
présenter sa candidature à l'Elysée en
défendant l'essentiel de mes
idées, je le soutiendrais volontiers, ce qui me permettrait de
revenir
me consacrer à mes autres projets...
- Je ne parlais pas de réintroduire l'ours mais au
contraire d'interrompre le projet de réintroduction des ours,
dans la mesure où, d'après les informations que j'ai pu
avoir, il n'est pas viable dans les conditions présentes. Et
ceci n'est qu'un point très mineur de mes positions. Il est donc
aberrant qu'il ait été le seul point mis en gras. (A
ce sujet, je tiens à préciser aux lecteurs pressés
qui confondent réintroduction des ours et sauvegarde de la
biodiversité, que j'attache une importance extrême
à la sauvegarde de la biodiversité, mais ma position sur
les ours tient au fait que les informations (certes partielles) dont je
dispose, semblent indiquer que le plan ours ne satisfait pas à
cet objectif. Eh oui, la vie est compliquée parfois !)
- Je n'ai pas encore de blog, mais un site,
que j'invite
à visiter pour connaître le détail de mes positions
et de mes argumentaires, qui ne peuvent pas être correctement
résumées dans un court article.
- Le développement de la civilisation numérique
(étudier librement par internet, marchés en ligne...),
permettant de réduire l'usage des transport et le coût de
l'éducation, constitue avec la réforme fiscale (vers une
taxation écologique) et la réduction des dépenses
publiques une part importante de mes convictions politiques.
- Pour se passer à terme d'un gouvernement, il ne
s'agit pas pour moi de régionaliser mais de créer un
ordre politique inédit que j'ai
intitulé infolibéralisme,
aboutissement de mes réflexions sur la logique libérale,
dont l'implémentation se ferait par des logiciels libres
apportant de nouvelles fonctions à l'internet suivant des
schémas que j'ai élaborés.
Ainsi je pensais déjà de toute manière avoir de
bien meilleures chances de parvenir à accomplir le
nécessaire changement de société par ce projet de
logiciels pour Internet, qui ne nécessite que le travail de
quelques bons programmeurs, que par une quelconque
candidature à l'Elysée qui, manquait de soutiens et
restait encore méconnue (bizarrement,
alors
que le premier résultat google sur "candidats
présidentielles" donne une liste où je figure). Bien
sûr une prise de pouvoirs politiques permettrait
d'accélérer fortement et d'accomplir plus en douceur
cette transition vers la civilisation numérique du futur, et
aussi tant de réformes nécessaires par ailleurs pour
notamment mieux désamorcer les désastres
budgétaires et environnementaux qui nous guettent. Sinon, je
risque de manquer de financement pour mener mon projet à bien,
alors même que je veille à ce qu'il coûte le moins
cher possible.
Par ailleurs, je déplore d'avoir été oublié
de la cérémonie d'engagement des candidats au Pacte
écologique, que j'avais signé dès novembre et
auquel j'avais apporté des réponses
approfondies (certes
inégalement suivant les thèmes), après que la
personne responsable des réponses de candidats au pacte avait au
départ décidé de m'ignorer, ne me
considérant pas assez médiatique. Notamment j'ai
développé vers Noël une proposition
détaillée de taxe carbone, qui ferait au moins le
quart
des recettes fiscales de l'Etat, à compléter par d'autres
taxes écologiques.
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du site - Présentation de ma
candidature aux législatives - Sommaire
de mes textes politiques et philosophiques