Miniblog : quoi de neuf sur ce site, et autres remarques

Décembre 2010: rédaction d'un long exposé de ma vision du monde: première partie, en vue d'envoi au site truthcontest.com (dont le contenu actuel est, comment dire, hum...)
Fin novembre 2010 : Ajout d'un nouveau résumé de mon projet de logiciel, en haut de la page, à destination des gens pressés. Par ailleurs je viens d'apprendre que le représentant de Mozilla Europe qui avait cru que ses collègues seraient intéressés par mon projet, a constaté qu'en fait il n'en était rien. Il m'indique que je devrais aller à la rencontre Fosdem à Bruxelles en février, qui devrait être le meilleur endroit pour trouver des programmeurs... je commence à être très fatigué de vainement courir en de multiples endroits à la recherche de programmeurs, avec parfois de faux espoirs, et qu'encore une fois on finisse par m'indiquer encore un autre endroit où je devrais absolument aller après encore une longue attente supplémentaire... comme si Internet ne devait pas suffir à la communication dans l'univers des développeurs de logiciels libres.
Novembre 2010 : Entreprenant de mettre à jour ma page de liens mathématiques (mieux vaut tard que jamais), je découvre cet article "The role of the professor" qui décrit précisément ce métier-qui-n'existe-pas mais qui a toujours été ma seule vocation, l'objet de mon principal travail en mathématiques, que j'avais toujours rêvé de faire et que je fais effectivement sous forme du développement du présent site, mais avec beaucoup de retard et de perte d'énergie par rapport à mes capacités naturelles (à cause de cette société qui avait absolument besoin de m'asséner le mensonge prétendant que j'avais besoin de bouziller ma vie à conquérir des diplômes pour m'autoriser à devenir ce que j'étais déjà depuis longtemps, ce qui était archifaux de A à Z, puisque ce que j'étais déjà et que j'avais désespérément besoin qu'on me laisse être, n'a rien à voir avec ces conneries de postes institutionnels qu'on voulait absolument m'obliger à me tuer à conquérir à la place), et seulement sur la base de ma rupture définitive d'avec quelque institution académique ou scientifique que ce soit.
Octobre 2010: Enfin, prise de nouveaux contacts avec des programmeurs, avec cette fois de meilleures chances d'aboutir. Notamment un membre de Mozilla France qui semble confiant sur les possibilités auprès de son équipe. Problème : pourquoi ne les ai-je pas visités plus tôt ? euh.. 1) j'ai bien posté l'annonce de mon projet il y a presque un an sur mozilla.stackexchange.org qui me semblait être le lieu indiqué à partir du site de mozilla pour présenter des projets (mais ne fonctionne plus maintenant), sans résultat. 2) et vous, pourquoi n'avez-vous pas pensé à les contacter ?
Par ailleurs j'ai entendu un programmeur expliquer que le projet Diaspora était totalement foireux question sécurité contrairement à ses prétentions; qu'il regrettait donc les 20$ qu'il y avait donné. Eh oui, tout comme avec google wave, quand des millions de personnes et même spécialement la communauté open source, s'enthousiasme pour un projet, cela peut aussi très bien être une bulle médiatique complètement insensée, sans aucun avenir. Donc: ne pas suivre le troupeau, même celui qui est sensément le plus intelligent...
Septembre 2010 : poursuite des améliorations des textes de maths. En particulier, math1.pdf désormais probablement définitif. La reprise du projet de logiciel n'a pas pu avoir lieu pour le moment, mais de nouveaux programmeurs sont attendus pour bientôt...
Fin juin : hors ligne, j'ai eu un débat très animé avec une étudiante qui: 1) quand je lui parle de cet étudiant en informatique qui ne supporte pas l'université, elle juge de toute manière que ce serait "bon pour lui" de continuer (au nom de la nécessité pour avoir des diplômes et un emploi); 2) que s'il ne le supporte pas c'est qu'il a des problèmes psychologiques, et que c'est cela le problème qu'il faut régler; 3) ne comprend pas et/ou n'admet pas (?) que moi et lui puissions être assez différents de la majorité des gens pour que les études officielles puissent vraiment être une mauvaise option au regard de la nécessité de trouver un emploi; 4) considère comme un tort le fait que je lui offre un emploi en lui confiant mon projet à réaliser, au nom du fait qu'après cela il risque de se retrouver sans emploi; 5) Malgré mon insistance sur le fait que ce qui me gène n'est pas en soi ma différence avec le reste du monde (bien que ce soit effectivement très gênant, imaginez que vous soyez, comme moi, dans un monde rempli de gens beaucoup plus différents de vous que les uns des autres et qui n'ont rien prévu pour les cas comme le vôtre, comment le sentiriez-vous ? et les accusations rampantes omniprésentes à supputer que ce serait votre faute d'être différent ?) mais l'intolérance pratique (institutionnelle, académique) du système envers les cas comme le mien qu'il condamne au dilemme mortel (chômage "t'est con c'est de ta faute, choix impensable et indéfendable" / anéantissement psychologique insidieux "je t'oblige à te bouziller le cerveau par amour pour toi car tu en as besoin pour gagner des sous"), (et que c'est pour cette raison précisément que je ne peux pas tolérer le système mais que c'est pour moi une nécessité morale et rationnelle que de souhaiter son abolition: il est le symbole de l'intolérance et donc ce serait de la lâcheté et de la complicité de crime que de ne pas le combattre), elle considère toujours que ce serait moi l'intolérant; 6) Comme tout le monde elle considère à la fois indéfendable de vouloir quitter le système, et indéfendable de se dire victime de ce système car j'étais d'après elle "toujours libre" et n'avais qu'à le quitter dès le départ s'il ne me convenait pas; j'ai beau invoquer ma timidité, ma faiblesse et mon inexpérience de jeunesse face à une mère autoritaire, elle demeure totalement insensible à une telle circonstance atténuante de la faute d'avoir obéi au système. 7) Elle regarde également criminel et intolérable le fait que j'aie osé dire que ma vie pouvait avoir plus d'importance que celle d'autres personnes, en ce sens que mon intelligence me permet de faire de plus grandes oeuvres; le fait que de telles affirmations puissent éventuellement n'être que l'expression d'une évidence indéniable, ne saurait lui effleurer l'esprit comme une possible circonstance atténante à ce "crime", et surtout ne mérite aucune discussion. 8) Se considère plus logique que moi.
Conclusion pour moi: le fait de voir ainsi en face un tel déploiement d'esprit de complicité de totalitarisme, me fait souhaiter encore plus ardemment la faillite des Etats entraînant le brusque licenciement général de tout le personnel académique, sans indemnité ni retraite.

Début juin 2010: ajout d'un nouveau texte: L'université disparaîtra, bon débarras.

Mai 2010:Les infos annoncent qu'un groupe de programmeurs viennent de recevoir plus de 170 000 dollars pour n'avoir rien fait de plus que de dire "faisons un nouveau facebook, décentralisé et open source" (Diaspora). Or ça fait plus de 5 ans que j'avais développé les idées pour un projet open source encore bien meilleur que facebook (contenant une version améliorée des principaux trucs récemment développés par facebook à la base de son succès) et totalement décentralisé, que je l'ai fait connaître à mes milliers de visiteurs, et tout le monde s'en fout. Je ne l'avais peut-pas annoncé partout où il aurait fallu, enfin c'est lassant d'en parler de plusieurs manières et de ne voir personne en parler à quelqu'un d'autre (et même certains me censurer comme un vilain spammeur). En fait le truc pour être populaire c'est de n'avoir aucune idée nouvelle. Comme ça au moins tout le monde comprend. Tandis que les idées nouvelles obligeraient les gens à réfléchir, ça leur prendrait la tête, et en plus ce n'est pas résumable, de sorte qu'ils détestent ça et ne voient pas comment en parler à qui que ce soit. Bon, une perle de connerie vue sur un des articles de la nouvelle vague de projets concurrents de facebook, concernant le projet movim: "Il est bien sûr impossible d’avoir un système complètement décentralisé" alors que j'avais expliqué comment.
Fin avril 2010: j'ai encore eu récemment quelques arguments avec d'une part un chrétien, d'autre part 2 libertariens (non, rassurez-vous, je ne gaspille que peu de temps à ça). Quels abrutis mon dieu ! sans cesse, notamment, à me reprocher des positions qu'ils m'attribuent et qui n'ont rien à voir avec mes positions réelles. Et bien évidemment, plus leur "pensée" est manifestement débile, plus ça leur donne raison contre moi en leur permettant de me reprocher cette évidence de leur bêtise qu'ils interprètent comme de l'arrogance de ma part. Comme si ça m'amusait de ne jamais trouver d'interlocuteur avec qui une discussion authentiquement constructive soit possible. Alors que je me définissais encore récemment comme proche des libertariens (de leurs idées, pas des gens) malgré un gros désaccord avec le révisionnisme climatique actuellement répandu parmi eux, me voilà désormais obligé de nier tout lien avec ces imbéciles, bien que mes idées de fond n'ont pas changé... les voyant finalement pas mieux avisés que les marxistes, il ne me reste plus qu'à chercher ailleurs des gens sensés...
Avril 2010: je lis un article yahoo des nouvelles de la taxe carbone: " Par ailleurs, la Commission souligne que "les coûts administratifs pourraient être très élevés alors que le taux de la taxe devrait varier en fonction des émissions représentées par les produits". Ben évidemment bande d'abrutis, ça fait des années que je l'avais écrit, c'est pourtant du bon sens: pour pouvoir fonctionner, la taxe carbone ne doit pas s'exercer sur les produits finis mais sur l'extraction de carbone fossile !

Mars 2010: Types psychologiques et système éducatif - J'ai enfin entrepris de démarrer une discussion sur mon projet en anglais avec d'autres INTP comme moi, c'est-à-dire une sorte d'extraterrestre constituant moins de 5% de la population humaine, ayant la propriété exceptionnelle d'être plutôt disposés à réfléchir face à une théorie inhabituelle un peu complexe, et à en discuter ouvertement au cas où des réponses satisfaisantes à leurs objections existeraient, même en l'absence physique de son auteur, plutôt que de se dépêcher de la rejeter sans se poser de question, comme font la plupart des autres humains face à des concepts qu'ils ne sont pas obligés d'apprendre pour réussir leurs examens.

Fin février 2010: démarrage de pages de physique à un niveau proche de la vulgarisation.

Février 2010 : Après le texte 1 en janvier, la rénovation du deuxième texte sur la théorie des ensembles est achevée. Désormais à de petits détails près la lecture s'enchaîne convenablement: textes 1,2,3. Voir le sommaire où un joli diagramme a été ajouté mi-janvier.

Décembre-janvier: mise au point de mon argumentaire sur la zététique.
Décembre 2009 : Regardant les infos d'actualité, lus articles intéressants sur l'avis d'un expert de la NASA à propos de la conférence de Copenhague ici et

Octobre-novembre 2009 : examen du projet Google Wave, remarquable implémentation (encore buggée) d'une partie des idées que j'avais définies pour mon projet depuis un certain nombre d'années. Mais une implémentation qui fait fausse route, pour des raisons que j'ai expliquées. Depuis mon explication que j'ai bien tenté de faire connaître, tout le monde s'en fout mais continue de se concentrer uniquement sur wave (ou sur d'autres projets) jusqu'à finir tôt ou tard par s'en désintéresser à force d'enlisement. Qu'importe, après tout, si ça amuse les milliers de programmeurs bénévoles de ne s'intéresser qu'à des projets nuls sans avenir pour bien perdre leur temps. De toute façon, même avec beaucoup moins de moyens, mon projet basé sur de meilleurs principes finira par l'emporter

Juillet 2009 : Ajout d'un résumé sur l'astronomie, dont sur le système solaire, les étoiles et les galaxies.

Projet de logiciel Trust-Forum

Destiné à être installé sur des serveurs web, son premier usage sera de remplacer l'email, avec une meilleure structuration des messages puisqu'ils sont regroupés en forums de discussion au lieu d'être divisés en messages reçus/envoyés /réaiguillés dans une jungle de dossiers... et aussi, en finir avec le spam.

Voir description technique en anglais du projet (facultative, pour prendre du recul sur les objectifs du projet) - documentation utilisateur en français; il reste quelques erreurs. Désolé, l'installation (qui avait de toute manière des erreurs) ne marche plus.

Des années ont été perdues sur le développement du projet faute de programmeurs pour s'y mettre. le problème est que, alors que justement, une fois réalisé, ce système aura pour utilité ô combien appréciable de permettre à chacun de trouver sur internet des partenaires fiables pour tous usages, j'ai eu la malchance de ne trouver jusqu'ici pour y travailler que des personnes non fiables. Ce qui démonstration donc par l'absurde, son utilité potentielle indispensable...

Besoin d'un peu d'aide

J'aimerais bien continuer la rédaction des maths mais d'abord je voudrais traduire en anglais les premières parties (ainsi que d'autres textes par ailleurs). Je pourrais le faire moi-même mais je ne peux pas tout faire à la fois.

Il peut aussi y avoir à redire sur la présentation de ce site, pas toujours dans l'ordre. Or comment peut-on à la fois développer des contenus progressivement et toujours veiller que tout soit présenté de façon nickel ? Aussi, j'ai tenté de faire connaître mon analyse des défauts de Google Wave, mais personne ne réagit (seule réaction: quel problème ? justement le but de Wave est d'être ouvert aux contributions et développements donc tout va bien madame la marquise et on peut aller se recoucher). Le hic c'est que pour que la possibilité théorique d'amélioration et de développement se traduise en réalité il y aurait besoin qu'il existe des gens pour 1) faire l'effort de comprendre ce qu'il y aurait à faire, puis 2) relayer l'idée, et/ou 3) se retrousser les manches et faire le travail nécessaire, et c'est là que l'expérience m'a forcé au pessimisme.

Quelqu'un pourrait-il m'aider ? En échange je pourrais offrir des cours particuliers de maths ou de physique tout niveau, dont en particulier calcul tensoriel, relativité générale et physique quantique suivant des approches beaucoup plus claires, digestes et permettant de maîtriser les sujets plus rapidement qu'en suivant les cours "habituels" dans les institutions. Vous ne me croyez pas ? Vous n'avez pas à me croire, il suffit de commencer par lire ce que j'ai déjà rédigé par là et qui est de toute façon la première étape nécessaire.

Je me demande bien d'ailleurs pourquoi tant d'étudiants perdent leur temps à aller en prépa ou à l'université alors qu'il serait possible (pour certains des meilleurs étudiants) de s'instruire beaucoup plus efficacement en autodidacte sur la base d'écrits (bien sûr mes textes ne sont dans leur état actuel qu'un tout début, que vous devrez compléter par divers livres, tenez par exemple les premiers livres de physique de Landau-Lifshitz, plus intéressants que les cours de prépa)... sauf bien sûr si on veut faire passer les diplômes avant la vraie connaissance, comme ce qui est fait habituellement. 

Idée ridicule ? D'habitude, les gens se moquent de moi quand j'ose me plaindre d'avoir gâché des années de ma vie dans le système scolaire alors que je me serais bien mieux porté à me développer hors du système. En effet ils me rétorquent d'habitude, sur un ton condescendant ne souffrant aucune discussion possible, que c'était mon choix et ma responsabilité de me plier au système car personne ne m'y obligeait. Mais il faudrait enfin décider un jour de ce qui est ridicule entre une option et son contraire, à moins bien sûr que le ridicule ne consiste tout simplement à avoir le malheur d'être confronté à cet absurde dilemme administrativement fabriqué pour piéger, détruire et ridiculiser ceux qui auraient l'indéfendable outrecuidance d'être intelligents d'une manière "non-standard".

OK, quitter le système ce n'est pas un conseil, mais une possibilité, dont la pertinence peut varier d'un individu à l'autre. Comment savoir à qui cela peut s'appliquer ? Un truc simple : mon profil psychologique est INTP. Les gens de ce même profil me semblent les plus concernés par mon expérience. Une discussion à ce sujet, pour le lycée et pour l'université aux USA.

Un truc qui m'a intéressé

Ce cours de psychologie sociale. Pourquoi ? Eh bien, parce que cela m'a rendu plus compréhensible (bien que toujours aussi navrant) cette situation à laquelle je suis si lourdement confronté : que, alors même que la quasi-totalité des milliers de gens (euh, étudiants en économie ou choses de ce genre en europe de l'est) à qui, au cours des années passées, j'ai exposé oralement mon projet pour changer le monde pendant une heure (ou un peu plus) sont après des discussions argumentées qui se sont très bien passées, sortis convaincus que c'est vraiment un très bon projet qui rendra le monde bien meilleur et qu'il est relativement très facile à mettre en oeuvre, pas un seul ni parmi eux ni parmi les nombreux lecteurs du présent site ne m'a recontacté pour demander des nouvelles, apporter des remarques, des critiques, apporter des idées détaillées de développement de telle ou telle fonction déjà considérée ou non, s'enquérir s'ils peuvent être utiles, ou généralement apporter quelque contribution que ce soit. Ni non plus parlé de ça dans quelque forum que ce soit. Seulement quelques-uns m'ont dit être fiers de m'avoir rencontré.

Résultat : depuis des années, j'ai été presque seul au monde à me coltiner le travail complètement stupide et désespéré de chercher n'importe où des programmeurs pour contribuer soit bénévolement soit du moins à un prix accessible à mon buget personnel.

Pourtant, on pourrait en toute rigueur constater les choses ainsi : comme il aurait suffit qu'à peine 2 ou 3 personnes se retroussent les manches et se remuent un peu les méninges (depuis quelques années que j'avais défini les principales idées) pour arriver à faire progresser le projet et ainsi déjà parvenir à un résultat très utile à des millions de gens et encore plus à l'avenir, ça signifie que tous ces gens qui n'ont rien fait (plus de 99% des gens, donc) sont chacun à titre individuel personnellement responsable de la stagnation du monde actuel dans tous ces travers. Donc ce sont des monstres qui sont d'accord pour que le monde continue de souffrir. Donc ils ont bien mérité de continuer à patauger ainsi dans toutes les souffrances et les injustices du monde actuel suivant leur propre choix comme conséquence de leur propre lâcheté et égoïsme, niac niac.

Je me marre de la connerie du monde pour éviter d'en pleurer

Janvier 2009. Vu que tout le monde a l'air de se foutre de la science et de la compréhension du monde, j'ai tenté un petit coucou dans le forum maths. Résultat c'est le bordel, un gigantesque n'importe quoi de réponses, et les modérateurs ont fermé la discussion. Auriez-vous réagi comme eux ? Mais qu'est-ce qui me fait marrer là-dedans, quelle est donc leur bêtise ? Dès qu'une déclaration se présente en rupture avec les idées reçues, personne ne cherche même à se renseigner sur ce dont il s'agit. Les gens s'embarquent dans leurs histoires sur ce qu'ils veulent croire que je pense conformément à leurs bons vieux fantômes pour me tourner en ridicule. Les uns aboient parce que les autres aboient, et ils se moquent de vérifier si ça a ou non un rapport avec ce que sont vraiment mes idées (et de fait, ça n'a guère de rapport). Ce faisant ils restent enfermés dans leurs préjugés déconnectés du réel. Quelque part on pourrait dire qu'ils ont seulement la malchance de ne pas se trouver dans la circonstance de faire attention et de comprendre comme ont pu l'être les étudiants en économie évoqués ci-dessus. Mais il ne tiendrait qu'à eux d'acquérir une chance comparable en daignant aller lire les pages nécessaires, puis si besoin en argumentant par mail ou téléphone pour compléter, mais ils ont préférer rester scotchés sur leur bêtise et leurs préjugés. Pourtant bien des gens qui s'intéresseraient vraiment à penser, pourraient vérifier par la visite de ces pages où je développe les idées que je n'ai pu qu'évoquer dans ces messages, et de constater à quel point ils me prennent pour quelqu'un d'autre et leurs insultes sont hors sujet, bien sûr inévitable pour qui se contente de lire les messages et prétend naïvement en deviner le sens sans se référer aux développements nécessaires, situation dont je les avais pourtant bien prévenus (et qui n'est pas de ma faute car ce que je voulais évoquer n'est de toute façon pas résumable et explicable à la taille de texte à laquelle les gens prétendument normaux exigent spontanément (= hors du cadre des bonnes vieilles structures académiques officielles) de tout comprendre et tout juger -- et donc ainsi par là même, de ne rien comprendre et de juger à tort), avertissement dont ils n'avaient là encore rien à cirer.

Les gens qui tout en négligeant tout effort de réflexion et de vérification de leur part me prennent pour un abruti (parce qu'ils ne me connaissent pas et n'ont aucune idée de ce dont je voulais parler), j'en ai pris l'habitude. Sans parler des moqueries de collégiens d'autrefois, il y a eu ma critique du christianisme évangélique: démarche scandaleuse et incompréhensible pour ses adeptes. Aussi, les réaction à ma critique de la relativité d'échelle de Laurent Nottale par ses quelques, où j'ai été presque le seul à oser rompre le mutisme de la communauté scientifique face à l'irrésistible déferlante de vénérations médiatiques qui avait porté aux nues cette folie. Au fil des années, ses derniers défenseurs ont naturellement abandonné devant les évidences. En décembre 2008, la page web m'ayant amené le plus grand nombre de visiteurs (le double de celle en deuxième position) a été l'article du blog de John Baez sur El Naschie, qui depuis a disparu mais a été copié ici et .

Voici encore quelques efforts d'explications:
A ceux qui me trouveraient idiot de ne pas me remettre en question alors que tout le monde est contre moi: justement le problème est que les évidences sont contraires à une telle image. Il n'y a pas tout le monde contre moi, au contraire, puisque j'ai pu convaincre la quasi-totalité des gens lorsque les occasions de débat rationnels se sont présentées (ce qui est hélas rare). Dans de telles conditions, c'est justement le fait de mépriser mes positions qui serait une démarche paranoïaque seul contre presque tous (plus précisément, tous ceux qui ont fait attention).
Puis, ceux qui croient pouvoir me qualifier d'orgueilleux et qui croient que cela me conditionne n'ont vraiment rien compris. En effet, comment aurais-je pu faire une quelconque comparaison de valeur intrinsèque de personnes, et encore moins y attacher une quelconque importance du genre à entraîner un motif d'orgueil, après avoir expliqué en long, en large et en travers comment je nie l'existence-même d'une échelle de comparaison interpersonnelle au sens ordinaire et qui me semble digne d'attention. Ainsi, comment diable ma raison pourrait être obscurcie par quelque souci de ma part de me situer quelque part sur une supposée échelle de comparaison qui pour moi n'existe pas ?? Or, très loin de tirer de l'observation de la bêtise du monde un quelconque motif de fierté, j'en suis mortellement affligé et j'ai perdu espoir de jamais parvenir à m'y adapter: toujours j'ose espérer trouver des gens qui puissent comprendre, et bien souvent je suis abasourdi de déception de voir qu'ils ne prennent même pas la peine de réfléchir, de vérifier ce dont il est réellement question, ou d'en tirer les conséquences pratiques.

Pour en revenir au sujet, tout ce qui m'intéresse ce sont les idées (en me moquant pas mal que ce soit moi qui les ait inventées), alors, bienvenue à ceux qui auront le courage d'entrer véritablement dans le débat d'idées. Et, suite donc à mon expérience d'avoir finalement convaincu la plupart de ceux avec qui ont eu l'occasion d'argumenter avec moi (en matière de projet politique bien sûr et dans un échantillon de gens cultivés sans a priori; je ne parle évidemment pas des chrétiens qui de toute façon même en écrivant 200 messages n'entreront jamais vraiment dans le débat) je ne vois aucun motif de prendre au sérieux l'avis de ceux qui ne le font pas.

Sinon, sur un plan plus pratique, en réponse à ceux qui me croiraient mal aimable (et qui n'ont pas eu l'occasion de me connaître personnellement et en particulier de savoir la timidité maladive qui m'avait handicapé jusqu'à environ 22 ans et qui n'a pas complètement disparu d'ailleurs), je suis effectivement désolé de n'avoir humainement aucun moyen de regarder comme aimables ceux qui notamment justifient ce système de camps de concentration scolaire qui m'a bouzillé la vie en traînant concrètement dans la boue une grande part des énergies vitales et intellectuelles que j'ai pu avoir dans ma jeunesse (au nom bien évidemment des mirifiques titres et autres torchons verbaux administratifs dont ce système prétendait m'honorer par ce biais et qu'il m'obligeait à convoiter malgré moi), et par ailleurs ne daignent pas reconnaître l'urgence humanitaire de la mise en place d'un système d'annonces de rencontre en ligne gratuit, universel et nettement plus performant que les sites de rencontres (meetic, okcupid et autres) existant actuellement (tandis que je consacre une part significative de mon énergie pour résoudre bien des misères dont celles-là). Quoi, qu'est-ce qui est le pire: commettre le mal par bonté d'âme suivant une logique de capitalisme spirituel, ou bien oser le dénoncer dans l'espoir de contribuer à sa résorption ? Pour moi, me taire devant le mal serait le cautionner, ce qui serait le pire. Mon seul "crime" est donc d'avoir compris ce qui se passe et de le dire.
Et ce, quelle que soit la politesse verbale qu'ils peuvent afficher par ailleurs qui n'est à mon sens qu'un inutile - et hypocrite - brassage de mots. Je ne peux donc que regarder comme une idiotie le fait de me traiter de globalement moins aimable que la moyenne des gens. Bien sûr il peut y avoir d'autres problèmes, auquel cas je vous prie de les aborder franchement de façon utile et spécifique, que je puisse me corriger (ou préciser ce qui n'était pas clair, ce qui demeure un travail difficile et nécessaire, et peut nécessiter les efforts de plusieurs).
Ainsi je me contente de dire les choses comme elles sont, et s'il y a des gens qui sont vexés je n'en suis pas responsable. Mais si c'est être méchant que de savoir et dire les choses comme elles sont, alors d'accord, je suis méchant.

A part ça je sais très bien qu'il y a des gens qui EN APPARENCE sont dans une situation analogue et qui se plantent complètement. L'amalgame est effectivement très facile tant qu'on ne prend pas la peine d'examiner le fond. Il y aurait en effet, superficiellement, une sorte de symétrie entre la raison et la folie, mais comme d'habitude le diable est dans les détails. Tenez, même superficiellement il y a déjà une différence: une position marginale contestataire ne peut être qualifiée de révisionniste ou des choses comme ça (antiscientifique) que si la position plus ou moins officielle à laquelle elle s'oppose est le fruit de recherches sérieuses (scientifiques) réellement menées sur la question en jeu; ce qui n'est pas le cas des idées que je développe, sur des questions qui n'intéressent souvent aucun scientifique (sauf bien sûr notamment en matière de critique du christianisme où je ne fais que rejoindre les mêmes constats déjà faits par des milliers d'autres - à l'insu des chrétiens eux-mêmes qui bien sûr n'ont jamais voulu le savoir). 

Je propose une explication : même si ce n'est pas volontaire de leur part, les gens valorisent de fait d'autant plus une forme ou une oeuvre d'intelligence, qu'elle se tient sagement à des années-lumière de distance et qu'elle ne revendiquera aucune implication sur leur propre vie et leur propre pensée (bref, qu'elle ne sert à rien), car tout ce qui bouscule leurs certitudes et leurs habitude leur semblera forcément idiot, sauf bien sûr si ce n'est qu'une manière indirecte de conforter encore davantage leur culte de la violente paralysie sociale ou autre culte de la bêtise. Or justement, je m'attache à tout ce qui peut avoir les plus larges implications. Ca doit être ça qui rend mes positions inadmissibles à leurs yeux, tant qu'ils n'en savent rien que l'annonce et les conclusions, et qu'ils ne se donnent pas la peine d'en vérifier le contenu.

Paraît-il que j'ai mauvaise réputation ?

Ici et là, dans des forums, des gens prétendent que j'aurais mauvaise réputation parce qu'en regardant par google on trouve 2 personnes (à ma connaissance, s'il y en d'autres dites-le moi) qui ont écrit des pages web pour se moquer de moi. N'est-il pas ridicule de faire confiance à ces tarés pour me juger à la va-vite ? L'un (du blog "grenouille bouillie") est un ardent partisan de la relativité d'échelle. Franchement, est-il sérieux de prendre ça comme référence de rationalité ? L'autre, pareil: aux initiales JL, il prend tous les physiciens quantiques pour des abrutis et se répand en insultes contre le principe même de l'usage des mathématiques pour la physique ! Après viennent encore les zététiciens, qui eux-mêmes sont la risée du grand nombre. Une fois balayés les insultes de ces zouaves qui attirent le regard pressé (réaction aberrante mais hélas répandue) mais ne résistent pas à l'analyse, je serais curieux de trouver quelqu'un de sérieux avec de bonnes raisons de critiquer mes idées, ou ne serait-ce que de les trouver d'une quelconque manière contraire à la science établie (je ne parle évidemment pas des coutumes institutionnelles qui n'ont jamais été ellles-mêmes objets de recherche scientifique, et dont la critique ne peut donc pas être vue comme antiscientifique). Bien évidemment, j'ai aussi mauvaise réputation auprès des fondamentalistes de chaque secte que je critique (christianisme évangélique, Bouddhisme, Walsch...). Bref, dès qu'on a une opinion sur un sujet, on se fait mal voir par qui a une opinion contraire sur ce sujet, mais faudrait-il ne rien penser pour être dans le vrai ? :-D Non, il y en a d'autres qui pensent du bien de moi, par exemple.
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