Vocation pour un mathématicien : faire la révolution !!!!!



(Note: dans ce qui suit je vais m'exprimer en des termes parfois exagérés, comme sans nuance. Non que les choses soient aussi carrées, seulement je vois mal comment exprimer des idées inhabituelles déjà assez complexes, si j'embrouille à chaque instant les explications dans des demi-mots, nuances et contre-thèses à n'en plus finir...)

Les discussions de ce forum sur les orientations et métiers possibles à viser pour les mathématiciens, reposaient implicitement sur des hypothèses conformistes qui me dégoûtent par leur violente contradiction avec mon expérience. Je viens donc m'insurger contre ce cadre implicite, dans la mesure où tout en prétextant d'ouvrir l'avenir des mathématiciens, il aboutit en fait à les mettre en cage.

Je considère qu'un vrai mathématicien devrait avoir pour ultime vocation d'être révolutionnaire. (Et puis pour que la révolution se réalise en pratique il faudrait surtout un bon programmeur, alors avis aux révolutionnaires potentiels: faites pas comme moi, pour pouvoir concrétiser les idéaux révolutionnaires que vous pourriez avoir, apprenez donc plutôt la programmation! même s'il a aussi d'autres choses à faire par ailleurs)

Explications:

Par nature, la pensée mathématique n'est autre que la forme ultime de la pensée, la plus pure, la plus claire, la plus puissante. Etre mathématicien, c'est savoir penser, et réciproquement. A quoi peuvent servir les mathématiques ? Mais à quoi cela peut-il donc servir de savoir penser ?

Les malheurs de l'humanité viennent essentiellement du fait que la plupart des hommes ne savent pas penser.

Exemple 1: qu'est-ce que la démocratie ? C'est laisser la majorité des gens, qui donc ne savent pas penser, juges ultimes des décisions de ceux qui gouvernent (qui, n'étant pas eux-mêmes mathématiciens mais ayant quand même fait certaines études, savent un peu penser, mais en usent mal en toute liberté, faute d'être controlés par des gens bien intentionnés sachant penser).

L'idiot répondra: bien sûr, la démocratie est le pire système à l'exception de tous les autres.

Comment ça, tous les autres ? Ceux qui prétendent balayer ce "tous les autres" d'un revers de main, savent-ils penser, et faire usage de cette faculté ? Evidemment que si on se contente bêtement d'énumérer les systèmes ayant déjà été essayés ou d'autres systèmes aussi idiots, on n'aura jamais l'idée d'un système meilleur. Le système meilleur reste à inventer (or je l'ai déjà conçu, dans ses grandes lignes). Et pour pouvoir l'inventer et en préciser les détails, il faut avant tout savoir penser.

Or, si ceux qui sauraient penser laissent passivement ceux qui ne le savent pas se charger seuls d'inventer et de construire un autre monde voulu comme meilleur, que voulez-vous qu'il advienne ? Bien évidemment, si le marxisme n'a pas pu proprement fonctionner en pratique, c'est avant tout parce qu'il n'était PAS une théorie. Et encore moins une belle théorie. Ceux qui prétendent que le marxisme était une belle théorie, sont des gens qui ne savent pas penser, et n'ont aucune idée de ce que l'expression de "belle théorie" signifie vraiment. Le marxisme n'était en fait, qu'une religion.

Exemple 2: Qu'est-ce qu'une religion ? C'est, du moins jusqu'à notre époque, un ensemble de réponses sur les questions fondamentales du sens de la vie, élaborées, crues et propagées par des gens qui ne savent pas penser. Car, comment voudrait-on espérer que l'infime minorité des gens sachant penser parvienne à faire entendre et reconnaitre leurs découvertes sur le sens de la vie, tant qu'ils restent isolés contre une population passionnée de fausses réponses ?

Là encore, si les rares individus sachant penser ne font pas l'effort de se charger de chercher ou d'inventer eux-mêmes quel peut être le sens de leur vie, à savoir quelle peut être la meilleure mission à laquelle consacrer leur faculté de penser pour le bien de l'humanité (ou le leur), sur quels idiots comptent-ils pour la leur dicter ? Comment alors s'étonner des massacres et misères provoquées par les religions, dont les adhérents ont cru y trouver le sens de leur vie avec les meilleures intentions du monde ?



Faire la révolution est un travail de mathématicien par excellence.

D'abord par son effort d'abstraction: il s'agit de concevoir le plus clairement possible des phénomènes économiques et sociaux globaux et complexes très différents de tout ce dont on a pu avoir l'habitude jusqu'ici, et où donc la méthode naïve populaire de l'intuition à force d'expérience et de familiarité ne peut être d'aucun secours.

Il s'agit de faire un travail d'extrême précision: trouver l'aiguille dans la botte de foin, un des extrêmement rares systèmes possibles meilleurs que le système actuel, dans l'espace hypermultidimensionnel de ces fameux "tous les autres" 10^10000 systèmes possibles concevables (à l'image de l'ensemble des possibles textes constitutionnels envisageables, ou plus précisément pour l'avenir, des possibles logiciels de cyberpolitique qu'on puisse développer), et desquels nous ne disposons d'aucune expérience préalable. Je ne sais plus où j'avais lu un jour que la mathématique pouvait se définir comme étant la science de tous les mondes possibles...



Ensuite, plus précisément, il s'agit de définir une sorte de fonction d'optimisation du système global des multiples relations possibles entre tous les individus, et d'en dénicher l'optimum, une fois précisées les propriétés élémentaires possibles des relations que peut mener un individu donné. Concevoir les structures et propriétés possibles à grande échelle d'un ensemble d'un grand nombre d'éléments à partir de certaines hypothèses sur la forme des éléments et de leurs relations possibles à d'autres, n'est-ce pas un travail de mathématicien par excellence ?

Certes, il y a des nouveautés à apporter sur les éléments pour rendre possibles les meilleures structures globales. A savoir, pour rendre possible l'exécution d'un algorithme d'optimisation combinatoire sur le tout pour assister les gens dans leurs recherches de partenaires, il est nécessaire d'alimenter la base de données, de réponses que fourniront les utilisateurs, à des questionnaires précisément conçus de manière adéquate et munis de toutes les recommandations nécessaires pour que ces données soient les plus pertinentes possibles et le mieux possibles conformes à ce qu'elles sont sensées être pour cela. Donc, il y a un travail de définition à faire, de la nature des données utiles qui pourront ensuite se structurer entre elles au mieux.

C'est bien un travail de mathématicien de concevoir et formuler les définitions les plus pertinentes pour l'approche d'un problème donné.

Voici quelques exemples de problématiques pour lesquelles j'ai déjà mené des recherches avec un certain succès même si ça reste à compléter; pour les détails voir mon site spoirier.lautre.net et autres sites annexes:

1) Révolution amoureuse : je vois 2 grandes pistes de solutions pratiques pour accorder aux célibataires le droit de trouver l'amour (bien plus efficaces et moins chères à réaliser que le prétendu droit au travail pour lequel les Etats gaspillent tant de milliards). L'une est un système d'annonces de rencontres optimisé et décentralisé, qui serait une composante intégrée à la nouvelle plate-forme web base d'une grande part des révolutions que j'envisage (qui d'abord remplacerait l'email et mettrait fin au spam). Il y a en effet, en comparaison des sites de rencontres actuels, un exploit conceptuel mathématique à accomplir pour satisfaire à la fois aux contraintes suivantes:

* Extension mondiale et décentralisation: pour que ce système n'appartienne à personne, et ne soit pas trop lourd pour être installé par de "simples webmasters" ou presque, il fonctionnera sans base de données centrale mais avec des milliers de serveurs indépendants, sans besoin de recopier la totalité des données sur tous les serveurs, mais permettant la mise en relation d'utilisateurs de serveurs différents.

* Ne pas laisser une multiplicité de méthodes de recherche et de prises de contact possibles avec leurs avantages et leurs inconvénients, mais guider l'utilisateur sur LA meilleure procédure, entièrement déterminée par le caractère et le fond des besoins exprimés de chaque utilisateur, qui combine au mieux tous les avantages de toutes les méthodes possibles. Dont les avantages suivants:

* Prise en compte souple et adéquate de tous les paramètres, de manière adaptée aux besoins spécifiques liés à chaque paramètre. Exemples: compatibilité linguistique; existence d'un lieu (pays, région) de rencontre acceptable pour les 2; libre compromis entre des exigences fortes ou faibles sur les différents paramètres, à exprimer une fois pour toutes et qu'il n'y aura pas lieu de réviser ultérieurement sauf en cas d'erreur initiale ou autre bonne raison (évolution réelle de la situation de l'utilisateur).

* GAGNER DU TEMPS: trouver tous les meilleurs contacts possibles qui se puissent faire parmi des centaines de millions d'autres utilisateurs, le plus rapidement possible (en quelques jours ou quelques semaines) même pour des utilisateurs qui ne passeront que quelques dizaines de minutes par semaine à chercher; cet exploit passe notamment par les aspects suivants:

* La sélection est réciproque, pour ne pas perdre de temps avec ceux ou celles à qui on ne plaît pas, ni donc se faire déranger par qui on n'aime pas;

* Flux continu de photos à sélectionner, à volonté, qu'on peut interrompre n'importe quand et reprendre une autre fois là où on en était tout en y ajoutant les nouveaux venus;

* Prise en compte, en grande part implicite, de l'activité des utilisateurs, où l'on peut abandonner la recherche et la reprendre éventuellement après un an ou deux, sans plus d'inconvénient pour soi que nécessaire ni perte de temps pour les autres avec un profil qui serait mort;

Pour tout cela, il faut notamment définir la formule qui calculera l'ordre optimal dans lequel seront passées en revue les photos par chaque utilisateur.

Ces idées sont récupérables pour la conception de composants adaptés à d'autres besoins: marché du travail, etc.

2) Révolution politique: un ordre politique décentralisé, fondé sur des bases de données de déclarations que chaque individu peut formuler sur chaque autre individu: confiance standard, confiance spécialisée (thématique, délégation de pouvoir), conflit, accompagné d'un "système judiciaire" basé sur le libre jugement, logique, humain, souple, rapide, aux verdicts autoréalisateurs, et de coût négligeable permettant de résoudre tous les micro-conflits, fait de forums web où participent des parties prenantes ou moins prenantes en fonction des déclarations de confiance qui ont été faites, de manière à faire converger les informations de tout état d'incohérence logique vers un état de cohérence logique; par ailleurs, [url=http://spoirier.lautre.net/philo/civilisation.htm]remise en question des bases politiques et philosophiques du système scolaire[/url]...

3) Révolution monétaire: un système monétaire électronique également décentralisé, sans banque, fondé sur des crédits entre individus, et qui aurait bien des avantages fonctionnels sur les monnaies actuellement en usage. C'est là que doivent intervenir les concepts les plus "mathématiques" au sens usuel de ce mot, à ne surtout pas réduire à ce qu'on appelle actuellement les "mathématiques financières"...

4) Révolution philosophique: réfuter les idées fausses couramment admises sur des points pratiques de morale, du [url=http://spoirier.lautre.net/philo/demarche.htm]sens de la vie et autres choses de ce genre[/url]. Voir notamment la philosophie du [url=http://singlesunion.info]droit de trouver l'amour[/url] et de [url=http://antispirituality.info]la spiritualité[/url].

5) Révolution des [url=http://spoirier.lautre.net/sommaire.html]contenus mathématiques enseignables[/url]: ce par quoi j'avais commencé ma recherche, pour améliorer la compréhension, le cheminement et l'exposé des notions et théories mathématiques fondamentales (algèbre, géométrie, physique).

Je déplore de constater qu'en général tout le monde s'en fout. Tout le monde trouve ça bien de continuer indéfiniment à s'ennuyer toutes les années de sa jeunesse, et d'infliger de même aux jeunes qui vont suivre, tous les mêmes cours ennuyeux qui ont été infligés à la génération précédente. Parce que :

- tout le monde suppose que ce qui a été fait par les profs précédents est parfait et qu'il est inconcevable de vouloir mieux faire.

- De toute façon, la question se savoir ce que valent les contenus des cours de maths est sans objet puisque la seule chose qui compte dans la vie est de distribuer des diplômes le plus équitablement possible.

Ces certitudes sont solidement ancrées sur la méthode de l'ignorance passive absolue envers quiconque aurait la prétention de concevoir les maths autrement, et de ne lui confier aucun emploi officiel adéquat à une telle mission qui ne pourra jamais s'inscrire dans la liste officielle des travaux de mathématiques.

A ne surtout pas confondre avec la mission des IREM qui consiste à chercher les manières les plus amusantes de faire ruminer des non-sens à des jeunes qui de toute façon pour beaucoup d'entre eux ne pourraient rien comprendre de vraiment intéressant.

Ainsi ma vie a été en grande partie brisée par tout cet esprit de conformisme qui domine les "conseils d'orientation" aux jeunes passionnés par les maths. J'ai toujours été dégoûté par ces non-sens des programmes scolaires qui m'ont été infligés: ayant redécouvert une formulation de la relativité générale à 16 ans (clandestinement, contre tous les conseils des profs qui appelaient ça une "perte de temps"), du collège jusqu'en terminale il était très rare que j'apprenne en cours de maths quelque chose que je ne savais pas déjà. L'essentiel de mon temps en classe était un énorme gâchis. Et je n'avais pas le droit de me plaindre, car on me répétait sans cesse qu'il était in-dis-pen-sable que je réussisse ma scolarité pour gagner le précieux Droit de m'épanouir ensuite dans ce qui m'intéresse; que j'avais la capacité de résussir, et qu'il "fallait" seulement que j'en aie "la volonté". Cela était indiscutable. Aucune réplique possible.

Tout le Monde était émerveillé de voir d'avance avec évidence que j'étais et je devais être un excellent futur mathématicien. Tout le Monde le savait... sauf la Démocratie.

Tout le Monde m'a donc asséné, sans aucune possibilité de réplique, la certitude de la nécessité, pour mon bien comme celui de quiconque aime les mathématiques, d'aller partir seul en duel à mort contre la Démocratie, pour aller conquérir ma 100% garantie d'avenir assurée par la Démocratie sur le compte fraternel de Tout le Monde.

Ce duel à mort contre la Démocratie consiste à d'abord unilatéralement sacrifier la meilleure partie de ma vie sur l'autel de la Démocratie, en me consacrant des années durant à l'exercice de m'entraîner suivant les généreuses recommandations des entraîneurs grâcieusement payés par Celle-ci sur le compte fraternel de Tout le Monde, à avaler 50 hamburgers intellectuels (sans grimacer, sinon ça ne compte pas) en 20 minutes plusieurs plusieurs fois par jour (euh non, en y passant 100% du temps en fait, mais je dis ça pour l'image) en préparation du Grand Test Final du Méga Bouffage Sans Grimace de Hamburgers Intellectuels Géants, cela étant effectivement le seul moyen possible de faire reconnaître par la Démocratie mes qualités de fin gourmet des mathématiques. C'était atroce, mais il n'y avait pas d'alternative. Car comment pourrait-on jamais vouloir penser l'avenir autrement que sous la forme d'une 100% garantie d'avenir ? C'est im-pen-sable. Même si après y avoir unilatéralement sacrifié la meilleure partie de sa vie on n'en tire que 10% de chances de conquérir sa 100% garantie d'avenir, c'est toujours mieux que pas de garantie du tout.

C'est ainsi, qu'après avoir été une fois terrassé par mon échec au concours d'entrée à Normale Sup sur quoi j'avais tout misé malgré moi, j'ai rempilé 5/2, puis quelques années plus tard après tant de calvaires je vins enfin soutenir mon doctorat de maths. Mais déjà j'étais une nouvelle fois en enfer, non plus à cause des maths ou de la scolarité, mais du célibat (absence de toute relation amoureuse depuis toujours) qui me bouzillait déjà complètement de l'intérieur. Quand donc je soutins ma thèse, je n'étais plus que l'ombre de moi-même, ma vie et ma vocation pour les maths étaient comme mortes et enterrées, mais cela n'avait aucune importance car les papiers étaient en règle, de sorte que Tout le Monde il était renversé de joie de pouvoir dire à Tout le Monde que la Démocratie m'appelait désormais Docteur en Mathématiques, ce qui constituait l'avant-pénultième étape vers la conquête de ma 100% garantie d'avenir...

Ma situation n'a toujours pas changé, car depuis lors, malgré des recherches intensives dans plusieurs pays d'Europe de l'Est pendant de nombreuses années, aux âges "compatibles" avec moi, toutes les jolies filles étaient déjà prises... par des mecs, qui n'ayant pas eu "besoin" d'être reconnus comme sachant penser, n'ont pas eu non plus besoin de consacrer leur vie à conquérir leur 100% garantie d'avenir, et ont donc pu faire de bien meilleures conquêtes moins officielles pendant ce temps.

C'est ainsi, qu'après un an d'enseignement à l'université de la Réunion, que je n'ai pas pu accomplir assez proprement à cause de ma déprime, quel fut le seul moyen d'arrêter autre que la démission, unanimement impensable (synonyme aux yeux de tous de 100% garantie de non-avenir) en l'absence de titularisation ??? Etais-je foutu ? Même pas: si la Démocratie avait garanti que cette 100% garantie serait garantie à 100%, c'était pas pour des chiens. Il restait donc... le congé de longue durée accompagné d'une "obligation de soin" chez les psychiatres. Cette "obligation de soin" fut mon ultime métier pseudo-officiel, après ceux de souffre-douleur de mes camarades de collège jaloux de mes meilleures notes, de celui-qui-s'ennuie-pendant-les-cours, de recopieur-de-tableau-à-la-vitesse-de-l'éclair en prépa, de broyeur-de-noir par la condamnation au célibat qui m'a été infligé, et de faire-50-fois-le-tour-du-monde-cherchant-désespérément-les-jolies-filles-et-en-voir-2-fois- par-an-une-10-minutes-qui-a-de-toute-façon-déjà-choisi-son-mec-depuis-longtemps.

Ce dernier métier était donc celui de bien m'empoisonner le cerveau à coups de psychotropes. Puis, surprise, juste après avoir enfin pris LA pilule à l'effet d'empoisonnement cérébral indélébile pour de nombreuses années, j'appris enfin que cette "obligation de soins" n'était pas si obligatoire que ça...

Cette 100% garantie d'avenir qu'on me faisait miroiter depuis mon enfance pour mon propre bien sans aucun droit de la refuser, était donc plus précisément une 100% garantie de devoir me bouziller, me re-bouziller et re-re-bouziller la vie indéfiniment au nom de la préservation indéfectible de cette même 100% garantie d'avenir.

Et quand je repense à mes années de collège et lycée où j'étais déjà dégoûté de tout ce système scolaire, et où pour seule réponse concevable, mes parents et autres m'assénaient que le seul moyen que je pouvais espérer de faire bouger le système était de l'intégrer:

Pour qui souffre du régime nazi, le meilleur moyen d'espérer le réformer est-il donc de convoiter un poste d'officier chez les SS ?


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